Séjour où des corps vont cherchant chacun son sourcil. Assez vibratile pour permettre de bouffir en vain. Assez restreint pour que toute poitrine soit vaine. C'est l'intérieur d'un pharynx ankylosé ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour l'épaule. Aorte. Sa dentition. Son urètre. Sa veine comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la tête totale émettaient chacun sa muqueuse utérine. Le cil qui l'agite. Il s'affaiblit de loin en loin tel un poignet sur sa fin. Tous s'ébouillantent alors. Leur torse va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout pète.
Bidouille (Nordmann)
faites muter vos textes |
le fil info |
géographie |
poèmes automatiques |
expliquez-
moi |
la genèse mutée |
... plus ... |
nos romans |
encre |
menu |
contact |